IXième Commandement: le Coran, tu liras Lorsque le calife Othman, le seul et véritable créateur du Coran, termina la mise en page de la toute première compilation des versets légués par le Prophète, il se retrouva devant un livre d'incompréhension. De manière tout à fait logique, Othman avait classé chronologiquement les différents versets en sa possession, du plus ancien au plus récent, dans l'ordre précis où ils avaient été révélés à Mahomet au cours de son existence.Néanmoins, dans cet ordre de lecture, les contradictions des paroles divines apparaissaient de manière flagrante: Allah commandait une chose et les sourates suivantes, Allah s'était rétracté et affirmait même le contraire de ce qu'il avait ordonné en première instance. Une aberration consternante. Cette première ébauche de Coran compilée par Othman était semblable au journal intime d'un dément basculant progressivement dans la contradiction, la paranoïa et la folie schizophrénique.Il montrait le caractère fluctuant d'Allah ou plutôt de Mahomet qui avait imposé sa volonté pendant plus de vingt ans, selon ses humeurs du moment, une volonté tâtonnante et défaillante. Alors, Othman décida de mélanger tous les textes en sa possession et les ordonna par ordre décroissant de longueur, un artifice qui permettait d'atténuer un tant soit peu l'incompréhension émanant des versets contradictoires. Le Coran était né. Pour noyer un peu plus le poisson de ce poison littéraire, pour tromper l'Histoire, Othman a aussi entremêlé des épisodes de la vie de Mahomet avec d'autres versets historiquement éloignés, mélangeant le Sage de La Mecque au Meurtrier de Médine ou comment passer du coq à l'âne en quelques lignes. Cet âne là, ne le soyez pas ! Lisez le Coran pour comprendre toute l'ampleur de la supercherie d'Othman et de son gourou Mahomet. Vous comprendrez alors pourquoi des hommes et des femmes, des êtres normaux comme vous et moi, se transforment en monstres inhumains, en kamikazes aimant plus la mort que la vie par amour du Prophète, comme les SS le firent pour Hitler. Si les Européens avaient pris la peine de lire Mein Kampf, au lieu d'écouter la propagande nazie affirmant que le Führer ne voulait pas la guerre, jamais Hitler n'aurait pu exterminer les juifs en envahissant les nations démocratiques. On se serait mobilisés pour neutraliser l'aigle germanique avant qu'il ne prenne son essor et ne mette en oeuvre son ambition meurtrière divulguée dans son livre. De même, au lieu d'écouter la propagande islamique affirmant que Mahomet était un pacifique prophète d'une religion de paix, si on avait ne serait-ce que feuilleté le Coran, jamais on aurait laissé sa secte guerrière s'insinuer dans nos existences démocratiques, sous prétexte de liberté de conscience. Des deux venins littéraires dévoilant leurs futurs assassins, l'humanité n'a pas voulu voir la vérité écrite en lettres de sang. Lâchement, on a laissé les Allemands vendre leurs âmes à Satan et, l'histoire se répétant, on a laissé les musulmans vendre les leurs à un Allah céleste, à un meurtrier terrestre nommé Mahomet qui n'a rien à envier au Diable. Des deux peuples tombés dans l'obscurantisme idéologique, l'un a ouvert les yeux et s'est réveillé le fusil à la main sur une innocente terre ensanglantée, l'autre continue de vivre dans un divin cauchemar qui nous conduit tous, non pas au paradis, mais vers une fin inéluctable. La fin de l'humanité. Extrait du roman Le Sage de La Mecque de Thomas Anderson.