L'histoire du Mexique porte sur ses épaules des émotions, des luttes et des identités qui la construisent, la façonnent et la décident. Jusqu'en 1821, ses habitants préhispaniques, créoles et métis plongent dans les eaux profondes du colonialisme, de la conquête, de la ségrégation, du racisme et de l'injustice. .
De 1810, date de l'émancipation nationale, jusqu'à la mort de José María Morelos y Pavón, fusillé en 1815, la conception de la nouvelle identité mexicaine a commencé avec le mélange hispanique et rural, avec les races indigènes et la génétique néo-mexicaine. rancuniers et méfiants de s'enraciner dans leurs coutumes et rituels d'origine sans perdre leur essence, mais acceptant les nouvelles formes de coexistence soumises à la domination et au caprice des courants européens, de la position dominante des créoles et métis pour ségréguer les races des anciens les empires aztèques ou mayas au plus bas échelon du progrès et établissent des hiérarchies sociales comme coexistence de classes
Après les anciennes luttes de pouvoir entre la conquête et la recherche de privilèges, la perte de territoires ou les règlements de comptes entre rancuniers, la force militaire est présente pour imposer des conditions de privilège à quelques-uns afin de dominer la majorité.
La première tentative démocratique d'ordonner légalement la nouvelle nation libérée et indépendante a été formulée en 1814 au congrès de Chilpancingo avec un projet de loi qui donnerait vie à la première Constitution fédérale des États-Unis du Mexique après l'indépendance du Mexique le 28 septembre. 1821, cette Magna Carta est sanctionnée le 4 octobre 1824 en tant que Constitution d'Apatzingán pour saisir les aspirations de liberté et de justice sociale pour tous.
Au milieu du XIXe siècle, après 48 ans d'indépendance, dans la répartition du pouvoir politique, deux groupes antagonistes ont émergé entre libéraux et conservateurs lorsque la première constitution libérale a été structurée en 1857 sous la direction de Sebastián Lerdo de Tejada, Benito Juárez et José Marie. Iglesias, qui entreprennent un nouveau sens du gouvernement pour améliorer les conditions de la majorité, était la recherche de l'équilibre et la répartition des bénéfices des luttes sociales, la guerre de réforme réalise des changements et des voies pour l'avenir dans la première guerre civile de la nouveau pays.
Très lointaines étaient les aspirations sociales des classes marginalisées lorsque dans le nouvel ordre politique les consortiums, les haciendas, les privilèges de classe et la répartition inégale des terres se configurent, ségrégent ou discriminent les habitants des zones rurales, foyer originel de mécontentement lors de la répartition de la terre le butin de guerre les soldats et les forces armées s'emparent du pouvoir économique et après l'invasion française, Porfirio Díaz conduit le pays à l'autoritarisme, au pouvoir unique et au contrôle des masses mécontentes pendant 35 longues années.
Après l'émergence de la révolution mexicaine en 1910, une nouvelle opportunité s'est présentée pour réaliser les désirs d'une immense population différenciée et séparée du progrès éducatif, social ou caritatif, se matérialisant après une longue guerre civile pour éliminer la réélection et les abus. . du pouvoir, un espoir renouvelé de justice sociale avec la promulgation de la dernière constitution des États-Unis du Mexique en 1917.
J'écris ce roman comme un hommage aux laborieux législateurs constituants de 1917 qui sont une partie essentielle de l'évolution du Mexique moderne, que la fiction me permet de les impliquer dans un monde étranger à la réalité mais que les coïncidences ne sont qu'une partie du récit sans trop aspiration. montrer ma fierté d'être Mexicain.