"Devenez le maître dont rêve votre chien, cela l'aidera à devenir le chien de vos rêves "
S'interroger sur l'intelligence d'un chien, c'est déjà l'aimer.
Un chien rejeté par ses maîtres, maltraité, sous-alimenté, que deviendra-t-il ?
Quel avenir pour lui ?
Le chien pourra-t-il survivre à ses maîtres ?
Comment va-t-il s'en sortir ?
Aura-t-il assez d'énergie pour se battre ?
Un roman de fiction, ou peut-être pas ! À vous de voir...
Les chiens sont des animaux très affectueux. Ils aiment leur maître d'un amour inconditionnel. Lorsqu'on part en vacances ou même en simple week-end sans son chien, il nous manque très rapidement. Mais est-ce que vous vous êtes demandé si vous manquiez à votre chien ?
Oui je suis zen, voilà une belle relation d'un chien surdoué avec certains humains.
Ma relation avec les humains, au début, fut désastreuse. Impossible d'être juste aimé dans cette famille. Cette famille n'aimait pas les contraintes: me sortir, me nourrir, même me câliner était une contrainte pour eux.
Les raclées devenaient monnaie courante, pour un oui ou pour un non, je me prenais des coups de pieds. " Dégage de là abruti de chien ! " Les hommes m'ont appelé Marco, je suis un cane corso.
Lors des sorties pour le pipi, c'était encore plus hard, avec des mots que je ne comprenais pas, parce que je suis petit, je n'ai que quatre mois, mais le ton de la voix ne me laisse rien prédire de bon. Cela s'appelle un mauvais pressentiment. Dès lors, je me faisais encore plus petit, lorsqu'ils apparaissaient dans mon champ de vision. Hélas, je n'y échappais jamais: " Allez, dehors ! Oust ! " Me dit le maître, en rentrant du travail. C'était toujours comme ça, lorsqu'il avait cette mauvaise odeur de la bouche.
Et encore un coup, il fallait que je coure vite pour éviter les coups, c'était presque devenu un jeu. Dès que je m'arrêtais pour renifler l'herbe, " bang " un coup de pied, et pas mieux lorsque je faisais caca, " bang ", encore un coup. Ensuite, je réussissais à éviter les coups. Je savais pile-poil à quel moment ça allait tomber. " Tu vas voir mon gaillard, si tu crois que tu es plus intelligent que moi ! " et allez... Encore raté. Je savais que s'il arrivait à me mettre un coup, je le sentirais passer. Cette fois-là, il me mit le coup si fort, que je n'arrivais même pas à marcher. Aïe, ouille, il continuait de se défouler sur moi. J'ai enduré cela jusqu'à l'âge de six mois.