Ce livre est une reproduction de celui qui était publié en 1954. Les auteurs étaient Albert Isaac Good, le fils de Adolphe Clément Good, Loïs Johnston McNeill, le fille du Dr. Johnston, Gustave Afan Ekômbô et Alphonse Meyoñ Bizôlé. Quand le Pasteur François Akoa-Mongo effectuait ses 6 mois de mission au sein de l'Eglise Presbytérienne Cameroun de Août 2014 à Février 2015, il est passé par Bibia. C'était pendant qu'il tenait des enseignements avec les étudiants à l'Institut Supérieur de Théologie Protestante Dager qu'il a rencontré l'étudiant de la première année du nom de Nguiamba Simon Pierre, l'arrière petit fils du feu Pasteur Nguiamba Ngally; c'est lui qui avait ce petit livre sur la vie des missionnaires presbytériens au Cameroun. Ce dernier le lui remis afin que ce livre, en additionnant d'autres informations, soit reproduit pour que les générations présentes soient informées sur l'histoire de l'arrivée de la Bonne Nouvelle chez nous au Cameroun. Du fait que les portes de l'Imprimerie Halsey sont fermées depuis des années, le Pasteur François Akoa-Mongo, fait publier ce livre par les Editions Amazon.com. et Amazon.fr. Les points suivants soutiennent l'importance de ce livre. Premièrement, on le lisant, on découvre l'environnement social, culturel, et spirituel dans lequel vivaient nos ancêtres; environnement que l'Evangile du Christ est venu changer. Deuxièmement, c'est dans ce livre qu'on voit les stratégies, les approches, et les méthodes utilisés par les missionnaires pour pouvoir convertir des milliers au Christianisme. Troisièmement, en étudiant ce livre, on peut aussi voir jusqu'à quel niveau ces premiers missionnaires, ainsi bien que les chrétiens presbytériens américains se sont sacrifiés pour nous apporter la Bonne Nouvelle en travaillant durement chez nous pendant 107 ans. Comme nous travaillons sous le signe du Renouveau, il est possible qu'en mettant en considération sous ces éléments découlant du travail des missionnaires presbytériens américains, nous chrétiens et leaders de l'Eglise Presbytérienne Camerounaise pourrions être persuadés que le prix payé par Jésus sur la croix, plus les sacrifices en nature et en vie des moyens par lesquels nous avons eu l'Evangile sont trop énormes et coûteux qu'il serait un grand tort de notre part de ne pas les prendre en considération et faire tout ce qu'il faut pour honorer la cause de tous ces sacrifices en vivant na nouvelle vie que nous avons reçue en Christ. Le genre de personnes qu'étaient les missionnaires. En étudiant la vie et les actes de chaque missionnaire, on peut facilement conclure que ces gens, avant même de venir chez nous, s'étaient consacrés à Dieu et à nous les camerounais. Le sacrifice se lit dans chaque acte de leur vie. Quand je compare la valeur monétaire et voit qu'en ce temps-là, les paroisses de la ville de Pittsbourg avaient collectionné en peu de temps une somme de $15,000.00 ou l'équivalent de 9.000.000 de francs en 18.. pour envoyer un missionnaire au Cameroun sur l'appel du Président de la Commission des Missions Etrangères, sommes-nous prêts même en ce jour de comprendre la valeur de la mission, si les vrais d'un seul missionnaire pour une certaine période devaient se chiffrer à se coût ? Il est certain qu'aucun de paroisses aux Etats-Unis pouvait gagner un tel salaire. Ce qui veut dire que les dépenses pour envoyer quelqu'un en mission étaient supérieurs aux dépenses locales. Que tous ceux qui vont acheter ce livre sachent que les produits de ses ventes seront consacrés à l'entretien des tombes des missionnaires enterrés sur le sol camerounais. Que le Seigneur en soit loué . Le 15 Avril 2015