Ce n'est pas de la chance, ce juste, le Bon Dieu qui joue aux dés Ce n'est pas un combat entre Dieu et le diable, mais plutôt un combat entre Dieu et Dieu .
Le bouc émissaire, à l'image du Christ, je me sens porté le mal, le péché de toute l'humanité et de tous les êtres. Dans des circonstances normales, tout ce péché pouvait m'absoudre de mon sort. Un sort scellé depuis la nuit de temps. Mon sort qui a toujours été la géhenne, les flammes éternelles. M'absoudre, mais je sais une chose, et la plus sure de tout ce que je peux connaître est que le maître ne revient jamais sur une parole donnée.
- M'absoudre dans quelle mesure
Le péché, j'ai toujours porté ma croix sans mot dire, maintenant que je suis sur est certain que je me trouve dans cet enfer promis, je ne peux rester bouche bée. Plus mauvais que j'ai pu être. Plus puissant que je ne pus être.
- Le libre-arbitre, n'existe-t-il pas ?
Le libre-arbitre, ne me dédouane-t-il pas - des péchés de ce mortel ?
Plus sale que jamais, plus puissant que je ne l'ai été. Un monde qui a son créateur. Un monde qui a été codifié de tout part par le maître. Le maître, celui qui a dit que h2o égale molécule d'eau. Le maître qui a fait en sorte que l'ovule + sperme égal foetus, que neuf mois après = nourrisson, que 100 ans plus tard ce même être est appelé à mourir. Même cette mort, on me l'attribue, ces difficultés de la naissance, on me l'attribue. Plus puissant que je ne pus être. Le maître, celui qui à tout codifier et l'homme ne fait que lire ce qui a déjà était écrit plusieurs milliards d'années avant son apparition. Mais l'homme, tout malheur ou toute autorité, on me l'attribue. On me l'attribue, on dirait que ce mois qui est créé tout cela. Même pas un poil même pas une once de contribution dans l'événement de la création de l'humanité.
Les puissants de ses mondes, beaucoup disent que c'est moi qui leur ai donné ces pouvoirs.
- est ce pour eux une manière de cacher aux autres la véritable source de leur pouvoir ?
Me l'attribuer est ce pour eux une manière de dire:
- ne devenait pas puissant comme moi
- rester malheureux parce que moi, j'ai vendu mon âme et tous le croient, restant définitivement dominer par ceux qui se prétendent être du diable.
- Être du diable ?
- Qui est vraiment du diable ?
Moi qui n'ai rien crée, moi qui ne m'appartiens même pas. Moi le diable, j'ai été créée, moi le diable aussi puissant que je pus être, j'appartiens malgré tout à mon maître, et en vertu de quel pouvoir, je peux arracher aux mains du maître ne fus qu'un de ses enfants. Même si on aller dans l'hypothèse que je le pouvais, je ne pense pas le pouvoir si lui-même ne me l'a pas donné. Du jour au lendemain, je suis devenu le maître de tout, le malheur, l'homme n'est plus responsable de ces bévues. Toute bévue est attribuée au malin. Ne nous soumets pas à la tentation, cette phrase que tous récitent, mais qui après plusieurs siècles est devenue dénuée de sens.
- Qui soumet au malin ?
- N'est-ce pas lui-même le maître ?
En toute humilité, je ne peux m'en dédouaner de ce que le maître a dit. Il a dit que je suis descendue avec une rage cherchant qui dévorer. Il a dit que j'étais le père de mensonge, je ne peux discuter ce que lui-même dit. A dit oui, de se dire beaucoup.
Ces sont accroché à cela.
De se dire tout le malheur de l'existence du monde porte un seul nom:
- moi.
- Le bouc émissaire parfait. Je porte à l'image du Christ tout le malheur de ce monde et je l'accepte sans broncher, et même si je ne voulais pas que vaille ma volonté par rapport à celui du maître.