Elena Lopez, l'auteur du livre "Marina di Beyrouth", assène un Coup D'État mortel à haute voix et en plein visage à la brigade de police de Martil au Maroc, impliquée de plein gré dans l'expulsion illégale de son appartement sans aucune ordre judiciaire étant le pays en État d'Urgence á cause du Corona en mars 2020, suite á deux mystérieux incendies chez elle.
La police fournit á Elena un faux interprété assermenté lors d'un procès verbal ou il manque quatre vingt quinze pour cent de sa déclaration, les agents ont inventé que l'appartement était sous scellés judiciaires et l'ont mise à la force dans un foyer d'urgence où l'ordre au directeur était de ne pas l'accompagner au consulat d'Espagne. Avec horreur elle a découvert l'existence de trois procès verbal transmis aux Tribunaux de Tétouan sans sa déclaration et sans savoir même pas de son existence.
La préfecture de police de Tetuán lui fourni à nouveau un faux interprète assermenté presque aveugle ET lui refusa le droit de rencontrer la cellule de femmes victimes de violence et le cacha l'existence de six auditions devant le procureur du Roi du Tribunal inventant qu'elle était en adresse inconnue et qu'ils lui avaient téléphoné mille fois.
"Je n'oublierai jamais l'image du policier des gardes á vue se promenant autour de moi comme un chien de chasse avec les menottes prêtes. Hélas, j'avais sur moi mon contrat de location, sinon ils m'auraient accusé d'être illegalement dans l'appartement".
Ses plaintes d'agression transmises au Procureur du Roi via la plateforme "Kolonamaak" de Union Nationale des Femmes du Maroc sans aucune suite. L'assistante sociale du Tribunal lui a privé d'assistance: *Au Tribunal vous n'avez aucun numéro de dossier ni on a jamais entendu parler de vous, sortez."
. "Avril 2020 je dormais dans une cabane sur la rue, la police a dit au Consulat d'Espagne á Tétouan que moi dans un hôtel. Aucune vérification du Consulat."
"Chaque visite visite chez le Viceprocureur du Roi beau comme un Libanais, depuis septembre 2020 est théâtrale et romanesque, il a mandaté un agent de police à Martil, le Commissaire Tahiri, étrangement virginal et sexuel en même temps faisait semblant de ne pas me connaître, il m'a détenu illégalement dans son bureau à des fins criminels. Échappée par miracle, j'ai eu peur de disparaitre á jamais".
Elena fut en garde à vue et détenue illégalement Octobre 2020 par le Commissaire CHEDADI de la Police Touristique de Tanger, dans une opération criminelle orchestrée par sa Préfecture de Police et commissaire TAHIRI de Martil afin de l'expulser du Maroc. Ils ont usurpé en toute impunité l'identité du Procureur du Roi du Tribunal de Première Instance devant elle: "Madame, j'ai reçu des Hautes Instructions de Sa Majesté Mohamed VI pour que votre problème se règle aujourd'hui. Ce soir vous dormez dans votre appartement. Le Roi m'a téléphoné personnellement. Ce soir TAHIRI vous rend les clés de chez vous. On vous dépose maintenant devant le Procureur du Roi. En réalité je me suis retrouvée détenue illégalement au Commissariat Central, les policiers m'harcélaient et collaient à mon corps. Vol et rétention du passeport cinq mois à cause de passivité du Procureur général du Roi".
Avril 2021 Nouvelle détention illégale encore plus surréaliste à Préfecture de police Tanger en présence de la Commissaire Amina Alaoui de la cellule des femmes victimes de violence, sans interprète. Ils m'ont tenu six heures sans manger ni une boisson chaude, traduction orale du compte rendu ne correspondant pas au contenu écrit, invention que je dormais dans la rue.
Je vais manifester au Palais Royal de Rabat pour clamer Justice au Roi Mohamed VI. Il est le SEUL qui me rendra mes Droits: "Va au Palais Royal, Notre Roi a beaucoup d'argent et te payera l'h