The Fifth Horseman of the Apocalypse
This book is in French. It is an autobiographical novel, the first book by young Romanian writer Cristi Broşteanu.
Le Cinquième cavalier de l'Apocalypse, le premier roman de l'écrivain Cristi Broşteanu, révèle des expériences particulières. C'est un roman passionnant sur l'univers humain vu de la frontière entre la vie et la mort.
Puisque les cavaliers dits apocalyptiques sont au nombre de quatre (Maladie, Guerre, Faim, Mort), en lisant le titre de ce livre, on se demande qui est le cavalier numéro 5. En lisant avec impatience les lignes de ce roman, on le découvre à un moment donné c'est la peur de la mort.
Le livre n'est pas seulement un roman qui propose une expérience personnelle particulière. C'est aussi une invitation à l'introspection, à la connaissance des émotions personnelles les plus profondes pouvant affecter la santé du corps biologique.
L'auteur nous invite directement ou indirectement à jouir de la nature et vivre en harmonie avec elle, nous nourrir sainement, élever et éduquer nos enfants sans leur transmettre la peur ou d'autres émotions négatives, et surtout à faire confiance à notre force intérieure, le pouvoir de notre pensée, qui peut faire des miracles.
Au-delà du côté orienté vers la spiritualité du roman, l'auteur nous porte, de manière réaliste, au fil du temps dans une Roumanie des années 1980 et 1990, juste avant la révolution de 1989, en mettant l'accent sur des aspects tels que la situation de l'emploi, de l'éducation, voire du tourisme à l'époque, sans oublier le divertissement des jeunes, des étudiants en particulier.
La partie où l'auteur se souvient de son enfance et de la relation privilégiée qu'il entretenait avec son grand-père lorsqu'il élevait ses brebis et qu'il savait comment utiliser leur lait est particulièrement sensible.
Les relations interhumaines ne sont pas négligées, l'auteur laissant au lecteur un sujet de réflexion sur les thèmes de l'amitié, de l'amour, des relations entre collègues, membres de la famille, des gens en général.
Nous trouvons ici une définition simple mais profonde de la divinité.
« À partir de maintenant, je pensais à la Divinité comme à une CONSCIENCE DU BIEN, DE LA BEAUTÉ ET DE LA VÉRITÉ, qui peut se manifester dans tous les hommes, par la volonté libre avec laquelle nous avons été dotés, et qui nous permet de manifester cette Conscience ou non. »
Adriana Crăciun (traducteur du roman)