Synopsis: 'La Descente aux Enfers' Suite et fin de ' La Menace sans Visage' Texte intégral Janvier 2013 Les organisations régentées par Stanislas Stavinsky, alias 'La Menace sans Visage', ont inféodé les agences de renseignements et les gouvernements occidentaux. Soumis à un odieux chantage, des dirigeants intègres tels les Présidents Harriet Langdon ou Ange Colombani se voient contraints d'obéir aveuglément. Grâce aux pièces d'identité que lui avait données le Directeur du FSB, Dimitri Lesskov, Ostara a pu se réfugier au Chili où elle mène une vie tranquille, déconnectée de la réalité, jusqu'au jour où sa mère la retrouve et lui expose en détail le projet 'New Genesis' de Stavinsky dont elle est la proche collaboratrice. Ostara comprend que l'ennemi agit par idéal, mais si elle partage ses craintes pour l'avenir de la planète, elle ne peut se résoudre à voir opérer le plus grand génocide jamais perpétré sans tenter d'intervenir; elle décide d'avertir la seule personne en qui elle ait encore confiance qui soit en position de l'aider: le Général Dimitri Lesskov. Est-il judicieux d'offrir ses services à la Fédération de Russie dont le Président, 'le Tsar' Sergei Ptitchkin, ne fait pas figure de démocrate ? Ostara ne pense pas avoir le choix, le Chef d'État russe est un homme blessé suite à la perte de son fils, assassiné par la 'Menace sans Visage' en août 2012. Ostara l'imagine ivre de vengeance, or ne dispose-t-il pas de tous les moyens dont elle a besoin pour tenter d'empêcher la 'Menace sans Visage' de mettre son terrible projet à exécution ? Elle voit en lui l'allié idéal. La jeune femme ne mesure pas que sa décision pourrait bien la mener aux portes des Enfers. Le mot de l'auteur: Deux ans après avoir eu la joie de publier 'La Fin des Certitudes', le premier tome de 'La Menace sans visage', c'est avec beaucoup de plaisir que j'ai mis en ligne 'La Descente aux Enfers'. Il a fallu deux ans à l'écrivaillon amateur que je suis pour finaliser ce projet. Pour ceux qui ont lu 'La Fin des Certitudes', je souhaite avoir conservé le style qu'ils avaient apprécié; je suis resté fidèle à mes choix: un univers parallèle qui se confond parfois avec celui dans lequel nous évoluons chaque jour, des références historiques contrôlées et recoupées. Afin de pouvoir vous faire vivre les scènes de combats aériens, j'ai pu bénéficier des conseils de spécialistes et j'espère qu'aucun d'eux ne sera déçu par le résultat. Lorsque j'aborde des sujets brûlants, je m'appuie toujours sur les écrits d'historiens des deux bords; bien entendu, en dépit de ces précautions, j'ai conscience que je risque de déplaire à l'un comme à l'autre. Toutefois, face aux critiques éventuelles, je citerai Benjamen Franklin lorsqu'il a dit à l'issue de la Convention constituante de 1787: Votre démocratie c'est une république, à condition que vous sachiez la préserver. Il pensait qu'un citoyen responsable ne peut se reposer sur ses représentants, mais qu'il ne doit pas hésiter à payer de sa personne afin de défendre la démocratie dont il est le dépositaire et le garant... étant entendu que la liberté d'un individu ou d'un peuple s'arrête là où commence celle d'un autre. Je me suis terriblement investi dans l'écriture de ce roman; s'il demeure un thriller que je souhaite aussi distrayant qu'haletant, propre à vous faire frémir ou sourire, à lire sur une plage ou au bord de la piscine, il contient également les craintes et les espoirs que je partage avec mes proches. J'ai donc prié le Lieutenant Ostara de Kervarec de vous les dévoiler. Bien qu'elle soit toujours hantée par les terribles évènements qui parsèment son passé et qui ont fait d'elle ce qu'elle est, elle a accepté cette mission... j'ignore si elle avait vraiment conscience des risques auxquels ell