Il constitue un document contre le marxisme et le communisme. Il est basé sur le relativisme des vérités et vise à démontrer que seules les vérités relatives existent. Fondamentalement, je traite des vérités comme celles qui dépendent de nos expériences et celles qui ne dépendent pas de nos expériences. Cela implique que les lois objectives imposées par Carlos Marx, qui ne dépendent ni de la volonté, ni de la conscience, ni de l'homme, ni de l'humanité, sont fausses, comme des vérités absolues.Le travail est divisé en introduction, trois chapitres et conclusions.Dans l'introduction, je commence au 7ème siècle avant JC. Le grec et moi introduisons la relation que la Garantie divine a avec le pouvoir politique depuis la fondation des États politiques. J'associe des vérités absolues à des pouvoirs et j'établis un principe qui dit: "Les vérités ne peuvent être dites que par les humains, que ce sont nous qui créons ensemble des langages complexes (évolutifs) et qu'ils ont une relation directe et inévitable avec ce que nous pouvons penser et dire sur les régularités physiques que nous définissons et ressentons (tout sens) du monde qui nous entoure. "Dans le chapitre 1, je traite des vérités objectives et je définis que cet objectif n'est pas le même que les vérités objectives. Les vérités objectives dépendent des humains, bien que l'objectif existe indépendamment. Je traite les lois objectives du philosophe allemand Carlos Marx et je les relie à la téléologie et à la philosophie de l'histoire, qui étaient également des arguments du philosophe allemand Jorge Guillermo Federico Hegel. Je soutiens que les arguments qui veulent démontrer l'une des lois fondamentales du marxisme, l'unité et la lutte des opposés, écrits par le philosophe allemand Federico Engels ne le prouvent pas.Je dédie le chapitre 2 à la vérité absolue et cite l'ancien philosophe Parménide d'Eléa à propos de son "Poème". Je cite des parties de la théogonie d'Hésiode. Je critique d'appeler les affirmations de certains philosophes "la vérité", alors qu'en réalité il y en a plus d'un dans tous les espaces-temps. Des vérités absolues sont faites pour gouverner les hommes et elles ont existé sans lui avoir donné le nom d'absolu, bien qu'elles aient dominé et exercé le pouvoir politique.Le chapitre 3 l'a développé pour définir des vérités relatives. Je conclus que les dieux du polythéisme d'autrefois n'existaient pas seuls mais avec des liens avec les descriptions des régularités physiques de la nature. Le dieu Poséidon n'aurait pas existé sans la mer comme tous les dieux d'autrefois: ils existaient comme des liens.Dans les conclusions, j'affirme que ce travail est anticommuniste car il désarme les lois du marxisme. En disant que les lois objectives dépendent de l'homme et en le démontrant, nous pouvons affirmer que le marxisme n'a aucune validité. Je précise que l'affirmation selon laquelle toutes les lois sont relatives n'est pas un absolu, car elles dépendent des expériences des hommes et les vérités absolues ne dépendent pas de quelque chose.