About the Book
Le représentant et la kiné Dites, vous êtes un peu direct, non ? Je ne porte rien sous ma blouse à part mon soutien-gorge et je ne vous connais même pas, fait-elle, beaucoup moins menaçante qu'il ne l'a craint. - Vous m'avez demandé d'aller à l'essentiel, alors je vais vous faire une mini-séance de massage avec l'appareil durant laquelle je vous expliquerai ses caractéristiques. Gain de temps: plus ou moins un quart d'heure, se défend Marc, sur un ton beaucoup moins agressif que tout à l'heure. - Bon, d'accord, accepte-t-elle en prenant place sur la table de massage. Lui n'en croit pas ses yeux: non seulement il n'a pas pris de gifle et elle n'a pas téléphoné illico à la police, mais la voilà qui, après avoir déboutonné sa blouse, la plie et la pose sur le dossier d'une chaise avant de se coucher docilement sur la table. Sérieusement décontenancé, Marc se reprend tant bien que mal, sort la petite machine de son emballage, y fait quelques réglages et sans plus attendre, laisse courir l'engin sur le dos dénudé de la belle. L'ambitieuse Il sait s'y prendre, c'est un peu un professionnel du sexe, il lui fait connaître des jeux qu'elle n'avait jamais pratiqués et qui lui font peur. Quand il lui entrave la poitrine à l'aide d'une fine ceinture de cuir et qu'il serre, elle ne peut s'empêcher de gémir de douleur. Ce cuir qui mord ses chairs quand elle se mutine lui fait horriblement mal, mais Patrice s'en prend déjà à ses tétons, les tirant brutalement, ce qui lui arrache d'autres plaintes. Elle devient alors son jouet et doit subir. Il fait tout pour la surprendre, allant jusqu'à jeter des liasses de billets de cent euros un peu partout dans l'appartement. Fabienne, nue, à quatre pattes et les mains attachées derrière le dos, est obligée de ramener dans sa bouche le plus de billets possible. Elle est humiliée mais n'a pas encore tout enduré. Jeux Pervers Il savait y faire et Évelyne éprouvait de plus en plus de plaisir sous les caresses de son ami. Mais le garçon avait quelque chose derrière la tête: patiemment, il amena sa partenaire vers le désir et quand il fut arrivé au but, qu'elle commença à céder, il lui ordonna de mettre le string offert par son patron. L'idée parut saugrenue à la jeune femme, qui néanmoins s'exécuta. Debout, complètement nue à part le cadeau, elle s'était alors offerte au regard émerveillé de son petit ami, lequel, sans qu'elle sache pourquoi, était beaucoup plus excité que de coutume. Le string avait ensuite servi à pimenter de nombreux de jeux érotiques dont Jean-Louis n'était pas du tout coutumier. Un couple pas comme les autres L'arme flirte maintenant sous sa jupe, littéralement découpée en lambeaux, la laissant pratiquement nue. À nouveau, elle l'implore de garder son sang-froid. Non, elle ne se rebiffera pas et oui, elle est prête à lui obéir, pourvu qu'il reste calme. Il rit bruyamment: comme si elle pouvait, dans sa situation, exiger quoi que ce soit ! Il termine son travail en coupant les bords de son string qui finit, comme le reste, sur le sol. Écarte les jambes, lui ordonne-t-il. Elle obéit. Debout, toute nue et les jambes écartées, elle attend la suite du supplice que va lui infliger son tourmenteur. La jeune femme fait toujours entendre de petites plaintes, marmonnant constamment la même phrase: S'il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne me faites pas de mal... L'invité S'il te plaît, pas maintenant, Ben va revenir et nous n'aurons pas le temps d'en profiter, se justifia-t-elle, l'implorant de lâcher prise. - Tu as raison. Combien de temps encore, avant qu'il ne revienne ? la questionna-t-il. - Pas plus de cinq minutes, malheureusement, mentit-elle. - Juste assez pour te déshabiller ! Dépêche-toi, mets-toi nue ! lui signifia-t-il. Si elle avait cru pouvoir le calmer, il n'en était rien. Son cerveau en ébullition cherchait déses